Toi, la changeante aux multiples croissants
Inonde le monde de tes différents visages
Ré-enchante la Terre de tes lunaires ombrages
Voiles illumineux ou diaphanes versants...
Femme Lune, sors de l’obscur oubli
Resplendis de nouveau au firmament
Retrouve les bras de ton solaire amant
Et que cesse enfin cette si longue nuit
Celle de l’âme, celle des coeurs trop meurtris
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